En France, près de 3 millions de propriétés forestières couvrent moins de 4 hectares. Cet émiettement constitue un frein à la gestion et à la mobilisation du bois. Dans son numéro double de janvier-février, le magazine Forêts de France consacre un dossier de 13 pages à cette question récurrente.
L’économie forestière semble peu évoluer depuis 25 ans. Les plans et les rapports se succèdent. Les changements climatiques dessinent un présent et un futur incertains. Une situation dont on ne peut se satisfaire.
Donner la faveur aux plantations sur la régénération naturelle des forêts, privilégier la transformation des grumes en France ou encore l’« articulation des usages » du bois, créer une médiation entre l’ONF et les exploitants forestiers… autant de revendications de la FNB qui appellent des remarques.
C’est tout de même extraordinaire, on parle d’environnement depuis des années sur le plan international (Rio, Kyoto, Paris) avec des avancées formidables mais souvent peu ambitieuses pour la forêt. À l’occasion du sommet sur l’accord de Paris « One planet summit », Antoine d’Amécourt, président de Fransylva, rappelle les ambitions données à la forêt et surtout les moyens qu’il faut lui allouer pour relever ce défi.
Pourquoi le livre La vie secrète des arbres a-t-il touché le cœur des amoureux des arbres et de la forêt ? Quelles sont les limites de l’ouvrage ? Dans son numéro de décembre 2017, Forêts de France analyse le succès du forestier allemand Peter Wohlleben.
Végétation, faune et sol : quel est l’impact du sanglier sur l’écosystème forestier ? Pour explorer cette question, un article paru dans la Revue forestière française livre le résultat d’une revue bibliographique réalisée à partir de plus de cent publications.
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