Service d’information géographique, PSG numérique, télétransmission, drones… Ces termes sont désormais inscrits dans le vocabulaire forestier. Pour assurer la bonne marche d’une propriété, les gestionnaires disposent d’un panel toujours plus large d’outils numériques, à explorer dans le numéro de rentrée 2020 de Forêts de France.
Qui connaît l’« obligation réelle environnementale », l’« ORE » ? Discrètement créée par la loi de reconquête de la biodiversité du 16 août 2016, l’ORE commence tout doucement à se matérialiser sur des propriétés agricoles ou des espaces naturels, mais pas encore en forêt. L’association Forêt méditerranéenne a voulu y regarder de plus près : en région méditerranéenne, l’ORE peut-elle être un levier pour amener les propriétaires forestiers à la gestion et à la sylviculture ?
Les travaux de recherches d’ExtraForEst se précisent et permettent d’imaginer de nouveaux débouchés de la chimie du bois pour la pharmaceutique, la cosmétique, la nutraceutique et les énergies renouvelables. Il s’agit maintenant de changer d’échelle, de structurer la filière et de relever le défi de l’industrialisation.
Accueillir le public dans sa forêt peut donner au propriétaire privé l’opportunité de partager sa passion et de communiquer sur son travail. Dans son numéro de juillet-août 2020, Forêts de France présente différentes possibilités qui s’offrent à lui : recevoir ponctuellement des visiteurs, autoriser le passage de randonneurs, de cyclistes ou de cavaliers, ou proposer une activité de loisir lucrative, tels accrobranche, hébergement, cueillette de champignons, etc.
Cerfs, et aussi chevreuils, sangliers, hérissons, castors, sont au centre d’un numéro thématique de la Revue forestière française. En quoi l’homme a-t-il contribué à l’expansion de la faune sauvage en forêt ? Comment réguler cette abondance ? Quelle est son influence sur les écosystèmes forestiers ? Quelles retombées socio-économiques ? Ce sont quelques-uns des questionnements abordés.
Figée dans sa beauté et sa diversité naturelle, menacée par les incendies mais étonnamment résiliente, la forêt de Sud-PACA a longtemps été assimilée à un décor de carte postale. Depuis 5 ans, la belle endormie vit un éveil économique qui modifie la donne. À découvrir dans le numéro de juin 2020 de Forêts de France.
Bienvenue dans L’Agora, espace d’expression et de débats. Les avis exprimés dans L’Agora ne reflètent pas la position de la rédaction de Forestopic. Pour proposer un article, contactez-nous.